Les stations de transformation du ciment se multiplient sur la façade Atlantique pendant que des cimenteries centenaires ferment ailleurs en France. La raison ? Les financiers optimisent la production selon les quotas de CO2 alloués par l’Union européenne. Une arnaque légale pour une industrie parmi les plus polluantes du monde.
27 avril 2016 / Baptiste Giraud (Reporterre) : Lire l'article
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